Entre les lignes de sa correspondance, on lit le parcours d'une vie, mère, grand-mère, veuve, encore et toujours femme.
Sa maison est vide. Avec l'énergie de l'urgence, elle en appelle à la joie, à l'ivresse du vent du large. Et peut-être une dernière fois à l'amour.
Dans le sable de Ouistreham, sur le sang lavé d'une autre guerre, ses pas laissent une trace...
Comme les lettres à ses « chers enfants ».