«Au second siècle avant notre ère, la Gaule passait pour un des pays les plus peuplés du monde. Les citoyens des villes grecques disaient alors de leurs patries qu’elles se mouraient faute d’hommes et ils pensaient en même temps des tribus gauloises qu’elles souffraient d’un excès de multitude. Une telle opinion ne venait sans doute pas de l’exacte connaissance du pays... ©Electre 2025