Lors de chacun de ses voyages en France, de l'après-guerre jusqu'à sa mort en 1980, Henry Miller passe quelques jours dans la région de Montpellier. Pourquoi Montpellier ? Parce que c'est là que ses amis l'attendent, c'est là qu'il se sent comme en famille, chez Lawrence Durrell, Joseph Delteil et Frédéric Jacques Temple.
La centaine de lettres qu'il adresse à ce dernier témoigne de cette belle et solide fraternité.