Dans ces 365 étincelles, un moine et un photographe, poètes tous les deux, alternent la parole et l'image pour prolonger la louange que la nature et ses cycles élèvent silencieusement à leur auteur. Tout au long des saisons, leur regard se pose sur les variations du ciel et de la terre. Un arbre dénudé, l'exubérance de l'été, l'infini de l'horizon : les mots du poète ne veulent pas doubler la beauté du monde, mais s'y ajuster, patiemment, amoureusement, pour la saisir au plus près de sa source.