Fragments d'une autobiographie
Chronique d'un exil en France
« ...Mais à peine ai-je franchi le seuil de l'ambassade à l'heure indiquée que j'ai trouvé la police française qui m'attendait. On me mena au poste de police et on procéda à ma fouille à la recherche d'armes. La police m'informa que le Premier ministre égyptien l'avait avisée que je voulais attenter à sa vie. »
« Ma vie n'a pas été exempte des joies de l'art. Elle ne se limitait pas à la politique ni aux questions sociales, ni à la critique, ni aux tentatives de réforme. En Égypte, j'avais écrit une opérette pour Cheikh Sayed Darwich, Shéhérazade. C'était dans les moments où je délaissais les activités politiques et sociales. La composition de cette opérette a une histoire... »