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Marie de mon enfance
Tante Marie va mourir. L'auteur, qui depuis sa naissance entretient des liens privilégiés avec sa marraine, reste à son chevet pendant soixante-douze heures et éprouve le besoin d'écrire et de raconter les souvenirs qui lui sont liés.
Porté par ces souvenirs engrangés dans l'écriture, le récit est empreint de douceur, d'émotion et rempli d'amusants passages où chacun pourra retrouver des morceaux de sa propre enfance.
« Peu à peu, au fil des pages, le récit minutieux et douloureux de cette mort se transforme en hymne à la vie. Il y a chez Marie-Thé Laclaverie une exceptionnelle aptitude à positiver les péripéties de la vie, à repérer les moments et les lieux de bonheur. (...) Un peu comme dans les Souvenirs d'enfance de Marcel Pagnol, avec pour décor non pas la Provence mais le Dauphiné, maintes personnalités attachantes peuplent le récit de Marie-Thé Laclaverie : l'oncle Francis, intarissable sur les guerres et excellent cueilleur de champignons, la généreuse tante Alexia, la petite tante Saint-Bruno et bien sûr l'héroïne principale, la tante Marie. Jamais tristes, ces évocations ont le parfum de l'enfance, celui des "grandes vacances", avec des fous rires, des larmes aussi (par exemple en écoutant Les Roses blanches de Berthe Sylva), des jeux, des cadeaux inoubliables comme la poupée de porcelaine, des animaux complices, tel le chien Boby qui faillit être sacrifié en raison de son aversion pour la gent galline... »
Jean-François Soulet