Le K de Dino Buzzati
par Claude Aziza (université Paris III), Annie Collognat-Barès (lycée Victor-Hugo, Paris) et Claude Ganiayre (université Paris X).
« Naviguer, naviguer, c'était son unique pensée. À peine avait-il touché terre dans quelque port, après de longs mois de mer, que l'impatience le poussait à repartir. Il savait que le K l'attendait au large et que le K était synonyme de désastre. Rien à faire. Une impulsion irrépressible l'attirait sans trêve d'un océan à un autre. »
Analyse de l'oeuvre