Ecrit en 1942, 120, rue de la Gare parut l'année suivante. Il constitue une sorte d'événement littéraire, dans la mesure où apparaissait un ton nouveau, dans le roman policier français.
De Nestor Burma, dont c'était la première aventure, Thomas Narcejac a écrit : «On n'avait jamais rien lu d'analogue. C'était drôle, prodigieusement vivant.»