Cinquante ans après, l'ancien officier de la Wehrmacht confesse que, même si personnellement, il n'a participé à aucune exaction, il ne se sent plus innocent. Il accuse son propre milieu, la grande bourgeoisie, l'armée traditionnelle, d'avoir favorisé l'ascension de Hitler, et fustige l'absence de courage civique des généraux. ©Electre 2025