En être ou ne pas en être, telle est la question du snob. Mais a-t-il vraiment le choix ?
Et si, plus qu'une comédie mondaine, le snobisme était une passion douloureuse, un esclavage ?
Le snobisme est un désarroi ou, pire, un divertissement. Et le snob est un clown triste.
Mais s'il n'est pas risible, c'est qu'il a, parfois, la sagesse de se moquer de lui-même...