« Tout change autour de nous, il faut suivre le rythme... Notre monde a fait du mouvement un impératif universel. Et si la vie est évolution, si l'économie est croissance, si la politique est progrès, alors, tout ce qui ne se transforme pas doit disparaître...
Au moment où le monde occidental est fragilisé par une forme d'épuisement intérieur, et puisque notre rapport à l'accélération actuelle des innovations technologiques sera le grand défi politique des années à venir, il m'a semblé essentiel de montrer le déséquilibre créé par l'oubli des stabilités les plus nécessaires à nos vies.
Car ce qui rend possible le mouvement de toute vie, et ce qui lui donne un sens, c'est toujours ce qui demeure. »
F-X. B.