«La littérature est la chambre de personne. Paroles de nuit, échos du silence, syllabes fatidiques, derniers mots, derniers coeur: je tiens ici le registre des morts imaginaires d'écrivains réels. J'ouvre le rideau au moment où La commedia è finita, ce qui n'est pas forcément un mal, si j'en crois plusieurs de ces mourants, écarquillés devant la merveille d'une robe qui bruit: alors, la vie leur apparaît toute neuve.»