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Nous vivons une époque périlleuse, qui impose à ses chefs une vision nouvelle du monde. Pour Robert D. Kaplan, la seule science sérieuse du futur, c'est l'étude des livres d'Histoire. Des années de reportage de guerre en Bosnie, en Ouganda, au Soudan, au Pakistan, en Éthiopie ou en Sierra Leone ont convaincu ce grand journaliste américain que Thucydide et Machiavel n'avaient rien perdu de leur actualité.
La stratégie du guerrier met en lumière les constantes de la nature humaine, y compris les errements de l'opinion publique, replaçant les défis d'aujourd'hui dans le vaste mouvement de l'Histoire. C'est une méditation sur la politique mondiale en ce début de XXIe siècle et le rôle qu'y jouent les États-Unis. C'est surtout, écrit Henry Kissinger, «l'un des livres les plus stimulants que j'aie pu lire récemment».
Auteur de plusieurs ouvrages remarquablement accueillis par la presse et le public américain, Robert D. Kaplan, 50 ans, est devenu l'expert américain de l'anarchie. La CIA et le Pentagone le consultent régulièrement, le président Bill Clinton s'est appuyé sur son livre Balkan Ghosts pour argumenter sa non-intervention en Bosnie. Avant même les attentats du 11 septembre 2001, le président George W. Bush l'a fait venir pour parler de la situation au Pakistan. Paru en 2002 aux États-Unis, La stratégie du guerrier y a figuré pendant plusieurs semaines parmi les toutes meilleures ventes d'essais.
«La thèse la plus fouillée en faveur du nouvel empire américain.» Jean-Jacques Mével, Le Figaro.