«Je suis tirée de mon sommeil par des cris qui font trembler les murs de ma chambre :
Je crois reconnaître la voix de ma mère. Mais c'est impossible, maman est douce, et, quand elle me réveille le dimanche, elle me caresse la joue en annonçant que mon chocolat est prêt.
J'ouvre un oeil ; c'est pourtant bien maman. Elle me secoue comme un prunier en hurlant :
Caroline a toujours voulu faire plus vieille que son âge. Son voeu est exaucé ; elle se réveille un matin dans la peau d'une femme d'un mètre soixante-dix. Commence alors pour elle la journée la plus folle de sa vie...