Autrefois vécue de manière collective, transcendée par les institutions culturelles, les rites funéraires et le rapport à l'invisible, la mort est devenue individuelle, intime ou occultée dans le climat d'un imaginaire appauvri. P. Baudry s'interroge sur ce phénomène et montre que la place des morts doit recouvrer la relation nécessaire à l'altérité pour que ce monde soit humainement "habitable". ©Electre 2025