"De ce moment, je fus renfermée dans ma cellule ; on m'imposa le silence ; je fus séparée de tout le monde, abandonnée à moi-même ; et je vis clairement qu'on était résolu à disposer de moi sans moi. Je ne voulais point m'engager, c'était un point résolu ; et toutes les terreurs vraies ou fausses qu'on me jetait sans cesse ne m'ébranlaient pas."
Le roman de Diderot peut se lire comme une "fable" de la liberté.