«Dans Passage de Milan, j'avais un immeuble parisien qui avait sept étages, je crois, et qui était pris de sept heures du soir à sept heures du matin. J'avais donc une superposition des étages et cette superposition des étages, je l'étudiais à travers une succession d'heures. Chaque heure correspondait à un chapitre et dans chacun des chapitres, j'étudiais quelques-uns des éléments superposés de l'immeuble.»
Michel Butor, Entretiens avec Georges Charbonnier