«On assiste, en deux cents pages, à l'apparition d'un écrivain d'une force poétique peu commune, au lyrisme sombre et sensuel, qui sait aussi bien épingler un groupe de vieilles en noir, momifiées sous un soleil blanc, qu'épanouir la beauté d'une fin de fête dans un jardin public, l'exubérance des fleurs ; et jusqu'au bleu du ciel, le bleu dur du beau temps qui pèse sur tout le livre - et même contre son espérance - comme la couleur de l'impossible.»
Michel Braudeau, L'Express