La Valse blanche est un roman à suspense de caractère psychologique. Il existe bien un coupable, voire un assassin. Mais la difficulté de le discerner, vient du fait qu'il est à l'intérieur de soi ou de l'autre - ou des deux. Et même cela n'est pas très sûr !
On ne s'est pas encore suffisamment intéressé à celui qui vit la dépression de l'autre. Quand une personne dit «ne pas être en forme», l'autre qui vit avec elle finit par en perdre sa forme lui aussi ou se trans-forme. C'est à se demander qui rend malade qui ? Si le ou la déprimé(e) et le ou la partenaire sont interchangeables, est-ce dû à l'usure que ce dernier subit avec le temps au contact du partenaire malade ? Ou est-ce la trop «bonne santé» de l'un qui aura fini par rendre l'autre malade ?
Ici Paris
Joseph Farnel s'est mis en embuscade pour épier la conscience humaine, et c'est réussi.
Hebdo Dimanche
Un désir de vivre qui le rendra totalement étranger aux souffrances de son entourage.
Communauté Nouvelle
... Il réussit, par l'alternance du flash-back et du récit, à ramener constamment le lecteur à la réalité...
Grand Théâtre d'Edgar
... comme l'a noté justement Pierre Assouline (Lire/Rtl) «ne se contente pas de tracer le portrait, à l'acide et au vitriol...»
Chroniques
... Joseph Farnel exprime parfaitement cet éloignement des êtres... ce bonheur que l'on a voulu construire comme sa fortune. ... La Valse blanche est bien un roman de notre époque.
Officiel du Prêt-à-porter
... ce roman parfois dur, souvent attachant, mais qui sonne toujours juste.
Médiascope
Les deux récits sont d'une qualité littéraire exceptionnelle, dans la poésie ou la révolte, le sarcasme ou la dérision.