Les voleurs de soleil : au bled algérien vers 1950

TAOUGHAZOUT. Un douar du sud algérien rattaché au bourg de Frenda. Au Moyen Âge, le célèbre historien arabe IBN KHALDOUN s'y retira pour rédiger ses « PROLÉGOMÈNES ».C'est à Frenda que Maurice BRUNETTI, alors jeune commissaire de police et observateur attentif, exerça au début des années 50, consignant au fil des jours les péripéties du surprenant microcosme qu'il découvrait.
Après un premier succès littéraire (« Traque au turf » - Fleuve Noir - 1984), divers romans, récits et ouvrages pédagogiques, Maurice BRUNETTI a ressorti ses carnets du bled algérien pour en extraire ces « VOLEURS DE SOLEIL », fresque populaire de la vie quotidienne des djebels. Un univers franco-musulman aujourd'hui disparu, que l'auteur a connu de l'intérieur et qu'il a su restituer avec tendresse, humour et minutie.

l^re édition BALLAND (1992) collection « Le Nadir ».
Réédition « Les Presses du Midi » 2003.

Sélection d'extraits de presse

• LE MONDE - 31.07.92 : « ... L'intrigue est maîtrisée, le style clair et imagé fait partager la joie d'écrire de l'auteur ».
• LA CROIX - 6.04.92 : « Un livre des plus savoureux. Mieux qu'une évocation pittoresque, l'anatomie d'un monde ».
• NOTES BIBLIOGRAPHIQUES - 1.09.92 : « Une langue savoureuse et drôle. Un document attachant ».
• LES CAHIERS DU MONDE MUSULMAN - 2^e trimestre 1992 : « Il nous reste des livres comme LES VOLEURS DE SOLEIL pour lire entre les lignes ce que les manuels d'Histoire oublient de nous dire ».