Interrogé par Daniel Mermet, le philosophe se dit frappé par l'insignifiance des débats de la société de la fin du XXe siècle. Le pensée unique est pour lui une non-pensée et c'est là qu'est son unité. Il défend l'idée que la société ne peut être vraiment libre que si elle s'auto-limite, si elle apprend à désirer cette auto-limitation et à en construire l'imaginaire. ©Electre 2025