Quels sont, au fin fond de nous-mêmes, les inclinations funestes, les troubles de l'âme ou penchants détestables qui nous empêchent d'être heureux ? Comment et pourquoi sommes-nous consumés par nos passions ?
C'est à la définition du «souverain bien» mais aussi des illusions qui nous en éloignent que Cicéron s'attache ici.
Œuvre et chef-d'œuvre de pleine maturité, les Tusculanes parachèvent en quelque sorte l'enseignement du grand stoïcien romain.
«Peu à peu, Cicéron dessine l'image d'un homme qui trouve, dans l'accomplissement de ses devoirs, la tranquillité intérieure, et une assurance qui lui confère fermeté et dignité.»