Cet «autre monde», que Christian Garcin nous laisse entrevoir ici, nous le devons à l'histoire étrange qui s'est tissée autour du Cerf courant sous bois de Gustave Courbet.
A-t-il vu le tableau ou une simple reproduction - voire : ce tableau qui, selon ses mots, l'a «proprement saisi» existe-t-il vraiment ?
«Il s'était évanoui. J'avais l'impression de me trouver au coeur d'une forêt impénétrable de correspondances rompues, de mystère et d'incompréhension. J'avoue que cela m'enchantait plutôt... Mais en attendant il s'agissait à proprement parler d'un tableau-fantôme, enfui, évanoui.»