L'auteur s'intéresse aux pratiques de scarification, de coupure ou de brûlure du corps chez les jeunes. L'utilisation de la peau comme surface d'inscription du mal-être marque la défaillance de la parole et de la pensée, la perte de sens. Evoque aussi l'automutilation en univers carcéral et le body art. ©Electre 2024