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C'est l'implacable mise à mort médiatique, fiscale et judiciaire du gêneur. Un carcan totalitaire se met en place pour étouffer définitivement les découvertes d'un des esprits les plus novateurs de la recherche biomédicale française.
L'origine de cette véritable malédiction scientifique ? La remise en question de l'intangibilité de l'ADN, dogme sur lequel Jacques Monod a bâti sa notoriété et qui lui a valu le prix Nobel. Une témérité scientifique qui sera d'autant moins pardonnée à Mirko Beljanski que, jeune chercheur au CNRS et à l'Institut Pasteur, il est précisément sous les ordres du grand homme, et que sa démonstration est sans appel ! Malgré 133 communications scientifiques dont certaines se sont révélées avoir plus de dix ans d'avance, malgré des découvertes biomédicales qui permettent, aujourd'hui, de rendre l'espoir à une multitude de malades réputés incurables, c'est une véritable "fatwa" qu'organiseront tout au long de sa carrière les autorités médico-scientifiques contre l'iconoclaste. Jusqu'à la mise à mort...
Pourtant des milliers de rémissions étonnantes, de guérisons, de survies confortables, sont attestées par autant de témoignages tandis que, de par le monde, des médecins soucieux de progrès se réunissent pour confronter les succès imputables à ses avancées scientifiques.
Mais en France l'innovation dérange. Elle remet en question les dogmes et froisse les vanités. Ne cherchez pas le nom du gêneur à la rubrique "Nobel". Vous le trouverez au chapitre de l'anathème... Au pilori des mal-pensants... Écrasé, enterré, sous le carcan de l'omerta et des persécutions les moins avouables...
Avez-vous dit Dreyfus ou Beljanski ?