Au printemps 1847, Gustave Flaubert et son ami Maxime Du Camp cheminent vers Belle-Île-en-Mer, une des étapes de leur long périple en Bretagne.
Flaubert, encore jeune mais déjà très en verve, nous invite à lire son carnet de voyage. Les rencontres de personnages pittoresques lui inspirent des portraits saisissants, tour à tour drolatiques et corrosifs. Conquis par la beauté farouche de l'île, il en dépeint les paysages avec force et lyrisme.
Emboîtons-lui le pas pour une randonnée littéraire, entre Quiberon et Belle-Isle...