La foule hurlait toujours, entourant la Taunus. Le sergent revint et tendit son passeport à Malko.
-Vous pouvez partir.
Malko ne bougea pas. Il avait compris. Dès qu'ils allaient prendre du champ, on tirerait sur eux, on les massacrerait. Le guet-apens était bien monté.