«J'ai rien contre le travail. Si c'est votre truc, j'en suis ravi pour vous. Mais personnellement, je préfère une nuit de travail malhonnête contre un joli petit pactole. Les horaires sont plus confortables, la paye est en général meilleure (même si y a jamais de salaire garanti quand on est à son compte), mon patron n'est pas une enflure et le fisc peut aller se brosser.»
Bex a donc opté pour le crime, sans vergogne ni ambition. Pourtant, l'existence d'un cambrioleur n'a rien d'une sinécure : il faut choisir judicieusement la maison à visiter, s'adjoindre le concours d'un complice qui saura rester discret, entretenir de bonnes relations avec des receleurs sans se faire repérer des flics...
Ses aventures antipolitiquement correctes pourraient offusquer les âmes sensibles ou bien-pensantes. Sous la plume dévastatrice de Danny King, elles déclenchent une irrépressible hilarité.
«Un style débridé... qui procure des plaisirs inavouables.» The Independant
«Journal d'un cambrioleur est le premier volet d'une série. Longue vie !» The Mirror