La «repentance» dont on voudrait faire un devoir aux catholiques n'est-elle pas le chemin de la capitulation devant le Monde ? De mea culpa en mea culpa ne veut-on pas conduire l'Église à un «aveu général» qui ferait de son histoire une longue suite d'erreurs et de crimes et lui interdirait de prétendre, à l'avenir, à l'infaillibilité ?
Historiens, essayistes, théologiens ou journalistes, les orateurs réunis par Renaissance Catholique pour sa huitième Université d'été ont fait justice des calomnies dont elle a fait l'objet et montré le ressort secret d'une campagne orchestrée par les ennemis de la foi catholique.