"Les poèmes sont carnivores", écrit Marie-Florence Ehret. Sans doute parce qu'elle les nourrit de ce qui se débat hors d'eux, Entre les tours, A l'hôpital, Entre les lignes, suivant les trois parties qui constituent ce recueil. Mais il est manifeste que l'écriture poétique la nourrit aussi, et tout autant la met hors d'elle, à la fois en colère et en joie. ©Electre 2025