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Au-delà du slogan, la préoccupation sociale a toujours fait partie des priorités du mouvement créé par Jean-Marie Le Pen en 1972. Soigneusement occultée par les médias et commentateurs politiques, cette évidence a fini par prendre corps aux yeux de tous avec l'arrivée de Marine Le Pen aux commandes du parti, en janvier 2011 : journalistes et adversaires ont alors feint de découvrir que le FN «s'appropriait» la défense des sans-grade, des ouvriers, des artisans et autres employés modestes de notre pays. Pourtant, dès ses premières années, le programme frontiste faisait la part belle au domaine social car que sont que la préférence nationale, le rejet du mondialisme dérégulé ou la promotion du Produire Français, sinon le souci de permettre à chacun de nos compatriotes de subvenir dignement à ses besoins et à ceux de sa famille ?
Le rôle de la solidarité nationale consiste donc non seulement à réduire ce phénomène, mais aussi à le prendre en considération et en charge, principalement en intervenant sur le terrain-même de l'exclusion : c'est ici qu'entrent en jeu l'Action sociale populaire (ASP) et son fondateur, le Pasteur Blanchard.
Ne bénéficiant d'aucune subvention alors qu'elle réalise bénévolement un travail relevant du salut public, l'ASP a pu voir le jour et se développer entre autres grâce à l'amitié entretenue entre Jean-Pierre Blanchard et Jean-Marie Le Pen. Sans publicité, sans volonté de coups médiatiques, l'équipe du pasteur et de son épouse Catherine creuse inlassablement depuis 2005 un sillon fait de désintéressement et d'amour de son prochain.
Les troupes ? Des anonymes, souvent sympathisants du Front national, et des cadres du FN, tous unis sans souci de hiérarchie ou d'intérêt personnel dans un seul combat : aider ceux qui en ont besoin.