L'orgasme ne ferait plus peur. La sexualité serait libérée et les corps pourraient faire ce qu'ils veulent. Mais quelle profondeur de notre corps atteignons-nous dans l'extase, le plaisir ou la douleur ? La lutte contre l'orgasme, au nom de la morale répressive, est devenue aujourd'hui une revendication d'immersion et d'abandon de soi. Mais jusqu'où accepterions-nous de perdre le contrôle ?