Il est trompeur le Trieux. Doux à l'œil comme les rives d'Asie, il est aimable, le Trieux. Ponctué de goulots, il ménage à qui le remonte des oasis, des étangs, des replis, des niches. Vers Pontrieux, il prend des airs d'Ecosse... Mais attention. Cette eau-là, si bien contenue, est une eau sauvage.