«L'univers ne me sera jamais une solitude, l'amour et la bonté dussent-ils me faire défaut, parce que je garde mémoire de ces images resplendissantes. Je les évoque sans me lasser, comme un pâtre sur le Taygète siffle trois notes toujours les mêmes. Ces belles minutes de mon voyage accourent en dansant. Avec un visage immobile et des mouvements passionnés, elles parent mon passé et me masquent le cercueil.»