« Fabrice a besoin de faire le don de lui-même. Et le don de lui-même passe à travers des textes. Ce don est pour nous. C'est un phénomène qui dépasse le théâtre proprement dit. Lui, comme Piaf, est un personnage très exalté, mais cette exaltation est hautement enrichissante, alors que chez bien d'autres, elle est encombrante. (...) Il a une telle richesse, une telle « réinvention », une imagination rebondissante si extraordinaire. Il y a chez lui comme un envahissement de l'être par le verbe. Il se renvoie au verbe et le verbe renvoie vers nous. Il est infatigable. »
Laurent Terzieff