«Quand je vous vois, je suis ravi. Petit oiseau de paradis, Vers le ciel froid vous avez fui... Dans votre coeur «y a» des soucis, Vos deux cerbères, vos vrais amis, N'ont plus que vous : et c'est leur vie S'il est bien vrai qu'au paradis La trappe s'ouvre à nos amis...»