La muraille de lave
Abasourdi, Sigurdur lève les yeux vers l'imposante Banque centrale, surnommée la « muraille de lave » en référence à l'impénétrable barrière de corail de la mer d'Islande. Ici règnent le crime et la corruption : une employée, adepte du libertinage, a été poignardée. Sigurdur en est persuadé, l'assassin est entre ces murs. Plus que jamais, les conseils d'Erlendur seraient précieux, mais il a disparu...
« Vous avez détruit la vie de ces gens. Et pour quoi ? Pour qui ? Combien de couronnes cela vaut-il ? »
« Le charme est intact Poésie noire et obsédante, maîtrise parfaite du tempo et des intrigues, dénuement du verbe, tendresse et vague à l'âme. »
Télérama