Stéphane Hessel se prête à l'exercice d'une autobiographie poétique. 88 poèmes, comme 88 printemps, qui l'ont accompagné dans les moments les plus doux et les plus graves de son existence. Cette «trilingologie poétique» ravive la mémoire du diplomate qui apprit les poèmes de Keats, Rilke et Apollinaire par coeur.
La poésie comme respiration, la poésie comme soutien, la poésie comme nécessité.