Sylvia
Un amour passionnel unit Leonard à Sylvia dans le New York des années soixante. Lui est un écrivain tourmenté, elle une amante excessivement jalouse et possessive. Vivant au rythme halluciné du Greenwich Village de l'époque, celui du jazz de Miles Davis et de la prose de Kerouac, Leonard nie la réalité, refusant de voir l'issue tragique où l'entraîne sa relation destructrice...
« Je ne savais pas que nous étions perdus. »
« Sylvia est un de ces bijoux romanesques que l'on lit d'une traite, avec la sensation grisante d'une radicale nouveauté. »
La Croix