Pirouettes dans les ténèbres
Gibbon trouve ses bras beaucoup, beaucoup trop longs. Selon lui, la solitude et les troubles mentaux sont la conséquence fatale de ce physique de primate. Malgré l'aide et le soutien du Dr Delafosse, Gibbon s'estime toujours inapte à la vie en société. Avis partagé par le docteur qui, avant de mourir, l'envoie consulter un directeur d'asile aussi dérangé que ses patients...
« Tant de choses m'échappent. Je n'aurai jamais les bras assez longs pour les retenir. »
« Un franc ravissement, chargé d'une pointe d'érudition, de drôlerie. »
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