Le Celte avait réussi à se dégager. Il se redressa à demi, dominant son adversaire. Mais celui-ci, aussi vif que lui, s'échappa dans un roulé-boulé qui le propulsa derrière le bar. Ils se battaient à l'aveugle, devinant plutôt qu'ils ne voyaient leur agresseur.
« ...Robert Morcet, avec son Celte, renoue avec les héros récurrents d'Auguste Le Breton. Et l'écriture y est digne du maître. Suspense garanti ! Bravo !... »
Alphonse Boudard